Ma première expérience avec le sous vide date du milieu des années 70. À ce moment-là, étant jeune étudiant, je travaillais dans une usine de viandes qui se spécialisait dans les coupes primaires de viandes et les portions contrôlées.
Nous utilisions une machine sous-vide « à clip »; une pièce de viande était mise dans un sac, puis on regroupait la partie ouverte du sac autour d’un tuyau rétractable par lequel l’air en était soutiré, puis on poussait l’extrémité du sac vers un embout qui allait sceller le sac avec une attache de métal, par pression mécanique. Une fois cette opération complétée, nous devions tremper le sac dans un bassin d’eau chaude, afin que le sac se contracte au contact de la chaleur, tout en éliminant les bulles d’air qui pouvaient rester.